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The Hunger Games RPG

Un jeu imposé, 24 candidats, seul le gagnant survivra. Puisse le sort vous être favorable
 

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 LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel]

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Areva N. Morrison
« this is the end, hold your breath and count to ten. »
Areva N. Morrison


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MessageSujet: LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel]   LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel] Icon_minitimeMar 30 Avr - 18:21

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Dans ces moments d'angoisse, je peux sentir chaque battement de mon cœur comme si c'était le dernier. Après tout, c'est peut être le cas.
Amélia M. Hopkins
Il y a de la poussière qui vole, tout autour de nous. Il y a à peu près une heure, il y a eu une secousse très importante, ce qui a fait s’effondrer quelques parois. Ça a bouché quelques galeries, et peut être bloqué quelques tributs. Ce qui est une bonne chose pour nous. Le plus discrètement possible -ce qui est difficile quand on a une torche à la main- je longe les parois. Je sens Peter, à quelques mètres de moi, qui fait exactement la même chose. C'est dangereux de se balader dans les galeries, qu'on soit armés ou non. N'importe quoi peut surgir et dans ce cas là, on a peu de chances de s'en sortir. Mais on a pas le choix. On a plus d'eau. Plus la moindre petite goutte de ce précieux liquide. Et le seul endroit où on peut en trouver c'est? Bingo. La corne d'abondance. Ils sont décidément pas si bêtes que ça au Capitole. Mais si il y a bien une chose que je ne comprendrais jamais, c'est pourquoi ils aiment les Hunger Games. Parce qu'ils ne vont jamais dehors, et qu'à la moindre tache de terre ou de sang, ils se mettent à hurler? Sûrement. C'est évidemment à cause de ça qu'ils envoient des jeunes mourir dans l'arène. Ils n'iront pas eux même, ils se saliraient. J'ai un sourire narquois en les imaginant, eux et leurs habits extravagants, dans l'impitoyable terrain qu'est l'arène. Je m'arrête soudain. J'entends quelque chose. De l'eau. On y est presque. Je me retourne vers Peter et pointe le chemin devant moi du doigt. J’articule silencieusement. On est presque arrivés. Peter a un petit sourire, puis il hoche la tête. Je reprends mon chemin, et bientôt, nous nous retrouvons au bord du lac.

En faisant le moins de bruit possible, je rentre dans l'eau. Je mords ma lèvre inférieure pour m'empêcher de crier. C'est glacé. Un peu de sang coule dans ma bouche. J'avance encore un peu, et puis brusquement, je n'ai plus pieds. Je plonge la tête sous l'eau. Quand je refais surface, quelques secondes plus tard, j'entends Peter qui plonge à son tour. Pendant les minutes qui vont suivre, on devra se soucier de deux choses essentielles: notre discrétion, et les monstres qui vivent dans l'eau. Ma gorge se noue au souvenir de celui qui m'a frôlé, la dernière fois que je me suis retrouvée dans le lac. Je secoue la tête. Je n'ai pas le temps de penser à ça. Lentement, en prenant soin de faire le moins de vaguelettes possibles. Pas question d'alerter les monstres marins, ou les tributs qui pourraient être sur l'île. La lumière diminue de plus en plus. On est peut être sous terre, mais on arrive quand même à distinguer le jour et la nuit. Et là, la lumière décline doucement, mais sûrement. J'ai du mal à apercevoir l'île. Mais bientôt, mes pieds frôlent le sol aquatique. On y est, enfin. Je me hisse hors de l'eau glacée, sur la terre ferme. Je reste un instant sur le dos, les yeux fermés, je reprends mon souffle. Quelques instants plus tard, j'entends Peter qui sort de l'eau à son tour.

J'essore ma combinaison comme je peux, tout en marmonnant. Elle va encore mettre trois jours à sécher, et je vais recommencer à mourir de froid. Mais pour l'instant, il y a plus important; trouver de l'eau, et rapidement! Je passe une main dans mes cheveux trempés. Puis, je me fige. J'ai entendu un bruit, rien de ce qui devrait se faire entendre normalement. Mais il est possible que je me fasse des illusions, à cause de mon angoisse permanente. Je me tourne lentement vers Peter, avant d'articuler lentement et en silence:

- Tu as entendu?

Il hoche la tête de façon presque imperceptible. La tension monte d'un cran. Nous ne sommes pas seuls, peut être même que nous sommes observés, sans le savoir.



Tribut féminin du District Neuf
made by pandora.


Je rappelle l'ordre de post pour ce rp:
Amélia - Peter - Liam - Joe- Alek - Laurel
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Enrico Miro
«you're face to face with the man who sold the world.» - Nirvana.
Enrico Miro


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MessageSujet: Re: LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel]   LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel] Icon_minitimeMar 30 Avr - 23:28

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peter h. thempson, d9.

Je plaque ma main sur la bouche d'un mouvement brusque, pour évier d'éternuer et de nous faire repérer. Cette maudite poussière entre par tous les endroits possibles: yeux, nez, oreilles, bouche, tout y passe. Je sens même quelques grains infimes glisser dans ma combinaison. Ça gratte. Je résiste à l'envie de détruire ces petits grains sous mes ongles: ça ne ferait qu'abîmer ma tenue, mon seul vêtement dans l'arène. Allez vous promener à poil avec 5°. Quoique bizarrement, les Juges ont été plus cléments aujourd'hui. La température a monté jusqu'à 20°. Mais ce souvenir n'est plus. La nuit approche, et la chaleur diminue. Je tremble. J'approche mes mains de ma torche, mais faut pas rêver: elle ne diffuse que de la lumière, et en aucun cas la chaleur d'un bon feu. Evidemment. On ne peut pas tout avoir aux Hunger Games, ça serait trop facile. Alors, soit t'as la lumière, soit t'as la chaleur. Ou soit t'as rien du tout.

La poussière s'éloigne. Tant mieux. Cela signifie que nous nous éloignons, lentement mais sûrement, de cet éboulement survenu il y a une heure, à peu près. Nous avons eu de la chance, Amélia et moi: nous nous trouvions du bon côté pour rejoindre la corne. Car sinon, on aurait été obligé de faire un grand détour. Et rallonger le chemin n'est pas bon: les chances de rencontrer quelqu'un augmentent.
Les torches en mains, nous longeons les parois le plus silencieusement possible. Amélia a pris les devants, et moi je surveilles les arrières, bien qu'il n'y ait rien à surveiller: personne ne va surgir d'entre les pierres. Si ? Nous n'avons pas beaucoup rencontré de créatures vivantes. La seule qui m'ait marqué, c'est cette souris rose. Je souris au souvenir de cet instant. La tête que j'avais dû avoir ... comique. Non. Il n'y a rien de "comique" dans les Jeux. C'est ta vie ou la sienne. Mon visage se ferme. Il faut que je me concentre, et pas que je laisse divaguer mes pensées vers des souris roses. Et pourquoi pas des souris oranges, hein ? Ou des souris jaunes ? Je deviens fou.
Mon visage se plisse, j'essaye de me concentrer. Car ce que nous allons faire, Amélia et moi, n'est pas sans danger. Nous nous rendons à la Corne d'Abondance. Rien qu'ça. Pourquoi ? Parce que l'eau nous manque. Je passe ma langue sur mes lèvres desséchés. Je n'aime pas du tout cette sensation. Désagréable, je trouve. Vivement qu'on trouve de l'eau. L'eau du lac ? Non. N'y pensons même pas. Avec tous ces monstres qui vivent dedans, je ne serais pas étonné que les juges l'ait empoisonnée, nous obligeant à nous rendre sur l'île (et à traverser le lac par la même occasion). J'entends le bruit des vagues. Étrange. Un lac n'a pas courant, puisqu'il est fermé. Encore les juges. Inaturels sur ce coup-là. Enfin, ça nous indique que nous approchons du but. Amélia se retourne, et articule dans le plus grand silence: On est presque arrivés. Je souris et hoche la tête pour lui montrer que j'ai compris. Après un regard échangé, nous reprenons la route.

Je sens l'eau à mes pieds. Froide. Glaciale. Il a beau avoir fait chaud dans la journée, l'eau n'a pas changé. Amélia s'avance d'un pas décidé. Je la vois faire la grimace, mais elle continue sans s'arrêter. Puis plonge. A mon tour. Je m'enfonce de plus en plus. Après les pieds, les genoux, les cuisses, on passe au ventre (grognement), et plouf. Tête sous l'eau. Je resurgis quelques secondes plus tard, en faisant attention à faire le moins de bruit possible. Je nage silencieusement, la tête hors de l'eau pour surveiller les alentours. Amélia devant moi, je regarde mes arrières: personne. Pas même un monstre. Bizarre. Normalement les Juges auraient réagi. Je sais bien qu'on ne pourra pas repartir avec de l'eau comme ça. Rien n'est gratuit, ici.
Je sors de l'eau derrière mon alliée. Elle marmonne et essore sa combinaison. Je hausse les épaules. A quoi ça sert ? On va y retourner dans l'eau pour rejoindre notre abri. Sauf si on reste coincés ici. Je soupire. Sans l'attendre, je m'avance un peu plus vers la corne. Un vrai bijou d'architecture. Qu'est-ce qu'elle est belle. Entièrement dorée. Mais, ne nous laissons pas piéger par sa beauté. A ces pensées, un bruit. Comme si quelqu'un sortait de l'eau. Un autre tribut ? Possible. Mon corps se tend. Qu'est-ce que je disais ? Rien n'est gratuit. Nous allons devoir combattre cette personne. Car je suis sûr qu'elle est bel et bien réelle. Les Juges ne vont pas nous laisser nous en sortir comme ça. Le Capitole veut de l'action, des combats. Leur soif ridicule sera étanchée, vous pouvez me croire. Les muscles tendus, je me tourne vers Amélia. Elle aussi a entendu. Je décèle un peu d'effroi dans ses grands yeux.

- Tu as entendu?

Hochement de tête. Non, ce n'est pas une illusion. Je lui fais signe de me suivre, et j'entreprends de faire le tour de la corne, le plus discrètement possible. Je ne me retourne pas pour savoir si elle me suit ou non. Nous connaissons tous les deux la valeur d'allié. Tant que nous sommes nombreux, nous resterons ensembles.

Je continue mon chemin, puis m'arrête. Des voix. J'entends des voix. D'hommes, je dirais. Ils ne sont pas très discrets: ils ne se doutent pas de notre présence. Bien. Nous avons l'effet de la surprise. Je me tourne vers Amélia, le sourire aux lèvres, et lui adresse un pouce levé. Bon pour nous, ça. Je m'approche un peu plus, et m'installe derrière une grosse caisse noire qui peut contenir n'importe quoi histoire d'observer sans être vu. Une tête blonde. Tiens, tiens. Je le reconnais lui. Ce type qui a toujours une dent contre moi. Je me souviens même de son nom. Liam Whyte, district onze. J'écris son nom sur le sable pour Amélia. Elle hoche la tête. Mais le type ne doit pas parler tout seul. Il y a forcément quelqu'un d'autre. Je me relève un peu plus. Je ne vois qu'une tignasse de dreadlocks. Il m'a l'air assez grand et imposant. Hum. Le petit Liam ça pouvait passer, mais celui-là, il est un peu trop costaud à mon goût. C'est à ce moment que je remarque le chiffre deux sur son épaule. Carrière. Je me tourne vers Amélia et lui montre. Toujours aussi déterminée, elle hoche une nouvelle fois la tête, résignée. Nous allons devoir nous battre. Obligé.

Le carrière se retourne. Je reconnais son visage. Je l'ai déjà rencontré avant les Jeux. Un drogué. La cigarette. Je lui en avais donnée une, un peu spécial, je me souviens. Mais ça, ça ne se compte plus. Nous sommes dans les Hunger Games. Ce n'est pas parce que j'ai filé une clope à ce type, qu'il va épargner ma vie.
C'est le moment. Ils vont bientôt repartir. On pourrait les laisser aller. Mais j'ai envie qu'il se passe quelque chose. L'adrénaline monte en moi. Je me lève brusquement. Amélia me lance un regard surpris. Le blond m'a vu. Il tourne la tête vers moi, me reconnaît, me lance un regard assassin. Je souris devant cette réaction enfantine.

- Salut mon pote.

C'est trois petits mots suffisent à l'énerver. Sans prévenir, il s'élance vers moi. Ma machette en main, je l'attends.


Code RomieFeather

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Suzan Lloyd
- District Quatre -
Suzan Lloyd


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MessageSujet: Re: LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel]   LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel] Icon_minitimeMer 1 Mai - 19:03

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« I wish you to die. Quickly. And painfully. »




La nuit était noire. Noire d’encre. Liam Whyte, District 11, était sorti de son abri pour la nuit pour se rendre à la Corne. La veille, il avait rencontré un tribut rencontré durant les entrainements (on va dire que ça s’est passé comme ça hein xD), un de ses alliés. Joe Brick, District 2. Et la veille, avant de se quitter, les deux jeunes hommes s’étaient mis d’accord pour se rendre à la Corne d’Abondance à l’apogée de la nuit. Il était bien connu que le Capitole dirigeait l’heure, le soleil, la température, les intempéries ainsi que les catastrophes « malencontreuses ». Donc, pendant la nuit noire, Liam et Joe se rencontreraient. De nuit, c’est bien plus sûr que de jour. De jour, on avait plus de chances de rencontrer des gens, donc de se battre, et donc de mourir.
Liam, quand il arriva sur la rive, tâta l’arrière de son pantalon, ses deux couteaux étaient bien là. Deux ? Oui. Il l’avait trouvé pendant le 2e jour, près des vestiges d’un feu. L’arc autour du torse, le jeune homme se prépara à plonger. Il fit quelques pas à l’intérieur de l’eau. Glacée. Pire que lors des débuts des Jeux. Liam frissonna de tout son être. Pourtant, la journée passée avait été bien plus chaude que celles déjà écoulées. Mais il se rappela que le Capitole contrôlait tout. Passer des cagnards brûlants aux toundras glacées, un jeu d’enfants. Et ceux coincés dans l’Arène pourront offrir un divertissement qui sera certainement à la hauteur.

Le Tribut du District 11 fit quelques crawls en respirant bruyamment. Pas très discret pour les monstres sous-marins et pour les tributs potentiellement dans les environs, mais c’était le seul moyen pour rester le plus « réactif » possible. Sinon, il risquait de se choper une hypothermie, et tous ses efforts n’auraient servis à rien. Liam, extrêmement soulagé, mit enfin pied à terre. Cependant, la lutte n’était pas encore terminée. Déjà, il y avait le froid. En plus, il était gelé, trempé jusqu’aux os. Et puis si ça se trouve, un tribut ennemi se trouvait là. Et s’il n’y prêtait pas attention, il finirait tué sans avoir eu le temps de se défendre. Aussi discret que lors de ses chasses dans les bois du District 11, il avança, lentement. « C’est comme chasser une proie. »
Il avait sorti son couteau de sa ceinture, pointé devant lui. Liam était même prêt à dégainer sa 2e lame et retirer son arc de son épaule. Le tribut avançait lentement, sans un bruit. Heureusement pour lui, le sol de la Corne et l’obscurité de la nuit camouflaient ses déplacements et même sa présence. Il faisait le tour de la Corne, personne. Même Joe n’était pas encore arrivé. Enfin sûr d’être tranquille, il remit en place son arme et tenta de sécher son costume du tribut. Liam se frottait avec ardeur les bras, dans l’espoir de les réchauffer un peu. Quand il eut fini, il commença à inspecter le moindre centimètre carré de la Corne d’Abondance. Du sang séché, des lambeaux de vêtements. Rien de bien intéressant. Non. Une lueur brillante attira le regard de Liam. Il s’en approcha immédiatement. À la lumière de la lune brillait un manche. Une épée ! Tout à côté, une hache. Il préférait de loin l’épée, il était pataud comme pas possible avec une hache. Peut-être qu’elle plairait à Joe, une fois arrivé. Fou de joie, le jeune homme blond la saisit à deux mains. Une belle arme. Il n’était pas maitre à l’épée, loin de là. Mais avec ça dans les mains, il pouvait faire du mal, ça c’est sûr.
Profitant d’être seul, il commença à faire d’amples mouvements avec l’imposante lame. De magnifiques arabesques se dessinaient dans les airs. Plutôt encourageant pour un premier essai. Malheureusement, d’autres sauraient le désarmer beaucoup plus vite. Il entendit du mouvement derrière lui, et s’arrêta vivement de tourner sur lui même. Concentré et parfaitement calme, il s’approcha du nouveau venu, son épée plantée droit devant. Quand un grand jeune homme apparut, l’ombre de ses dreadlocks se dessinant parfaitement dans la lumière de la lune, il baissa son arme et lâcha, en chuchotant :
-Ah, c’est toi. J’ai vu une hache là-bas, elle pourrait t’être utile.

Il rangea l’épée dans le fourreau qu’il avait trouvé en même temps et continua de regarder si un sac ou des provisions quelconques ne se trouvaient pas encore ici, épargnés par le bain de sang. Rien. Rien du tout. De tous les endroits dans lesquels il avait regardé, Liam ne trouva qu’un sac, avec un sachet de biscuits, en miettes. Magnifique. Mais bon, il ne faut pas être trop exigeant. Dans l’Arène même de la poudre de gâteaux peut te sauver la vie. Du moins, c’est ce que son mentor se tuait à répéter à lui et Rachel. Rachel qui était morte soit dit en passant. Dès le bain de sang. La gorge de Liam se serra. C’était affreux de pouvoir penser que le corps de sa camarade de District s’était peut-être trouvée à l’endroit où il était en ce moment même. Il supprima cette pensée de son esprit : 23 seront morts d’ici 2 semaines. Ce n’était pas le moment de jouer les sentimentaux.
Liam ouvrit le paquet de miettes et se dirigea vers son allié. Il partagea le « butin » en deux, dont il donna la moitié au garçon du 2. Le blond l’avala lentement, profitant de cette nourriture dont il viendrait surement à manquer d’ici quelques temps. Quelques secondes se passèrent dans le plus parfait des silences, seuls les clapotis de ce lac de malheur résonnaient sur la berge. Non. Il y avait quelqu’un d’autre. Liam se retourna vivement, toujours aussi silencieux. Il sentait une présence derrière lui. Cependant, il ne se retourna pas. Cela risquerait de donner l’alerte aux autres pour attaquer. Liam bougea ses lèvres en silence à l’intention du carrière, pour qu’il puisse le comprendre :
-Il y a quelqu’un derrière

Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, il entendit un bruit de pas, après avoir entendu un genre de « bond » derrière lui. Rapidement, Liam se retourna ayant dans chaque main un couteau. Quand l’autre, un garçon, s’approcha, il le reconnut immédiatement. Cette tignasse blonde décolorée et cet air d’ahuri, il ne pouvait pas le confondre. C’était ce Peter Thempson, de ce foutu District 9. Un regard haineux et agressif comme jamais il n’en avait lancé émanait de Liam, qui eut envie de l’étriper quand cet idiot sourit, et lâcha :
- Salut mon pote.

Peu après, il vit une jeune femme brune arriver. Sûrement son alliée ou quelque chose comme ça. Quand elle fut un peu plus visible, Liam reconnut Amélia Hopkins, la tribut du 9. Tient tient. Le District 9 au grand complet. Et l’autre andouille qui ne trouvait rien de mieux que le provoquer. Il allait provoquer sa mort et peut-être celle de sa camarade. Pas très intelligent.
Liam lança un rapide regard au garçon derrière lui. Il voulait lui faire comprendre qu’il y aurait un combat. Peut-être qu’il y avait même un léger sentiment de regrets et d’excuses. Il devait faire ça. Liam devait apprendre la vie à ce petit inconscient. Il n’avait peut-être pas conscience à ce moment là, qu’il risquait non seulement sa vie, mais aussi celle de Joe.

Liam s’élança, lui et ses couteaux, sur Peter Thempson, District 9. Les deux jeunes hommes roulèrent quelques instants au sol. Le garçon blond donnait des coups de lames dans tous les sens, mais il ne savait pas si elles touchaient leur cible. De temps en temps, il sentait qu’elles cognaient contre quelque chose, mais maintenant il fallait deviner si c’était la sale carne de son adversaire ou bien le sol. À vrai dire, il était bien trop concentré à parer les éventuels coups de machette de Peter.
Le Tribut du 11 arriva à un moment à se dégager de la tornade de poussière et de brindilles qu’ils avaient créée. Liam se retrouva sur les genoux. Il ne perdit pas de temps, et se jeta de nouveau sur Peter. Le blond se mit à cheval sur le torse de l’autre, le serra avec ses cuisses et mit son pied sur son poignet, pour lui éviter de se recevoir un coup de machette. Ce n’est que quand il appuya avec force l’un de ses couteaux sur la gorge de son ennemi qu’il remarqua que son avant-bras et son poignet étaient en sang. Il souffla de mépris en regardant quelques instants Peter, puis se rappela qu’ils n’étaient pas seuls. Ignorant si Joe s’était occupé d’immobiliser la jeune femme, il pointa son dernier couteau vers elle. Cette bataille était la sienne. Et pour qu’elle soit un peu fairplay, il vaudrait mieux qu’elle se trouve un autre adversaire et qu’elle ne s’immisce pas dans celles des autres. Liam, le bras et la lame tendus vers elle, lui fit un regard comme pour lui dire : « Ne bouge pas d’un cil sinon tu sais ce qu’il t’attend … », tout en serrant de toutes ses forces ses jambes pour que Peter ne bouge pas.
Que Panem s’amuse !


(Je savais pas trop comment finir xD Mais 1528 mots c'est quand même raisonnable 8D )
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Alek Joyle
- District Un -
Alek Joyle


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MessageSujet: Re: LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel]   LA GROSSE BAGARRE DE LA MORT QUI TUE! [pv Peter-Liam-Joe-Alek-Laurel] Icon_minitimeMer 8 Mai - 18:58

¤ Alek Joyle ¤
¤ Tribut du district 1 ¤
J'entends des bruits. Des pas. Je tends l'oreille, mais mon ouïe n'est pas assez bonne pour percevoir autre chose. Je saisis la poignée du sabre que j'ai récupéré et me tourne vers Laurel. Elle dort d'un sommeil agité. J'ai pris la garde à la moitié de ce qui nous semblait être la nuit. Je lui secoue doucement l'épaule et pose un doigt sur mes lèvres pour lui montrer de ne pas parler. Elle se lève et je lui fait comprendre par des signes qu'il y a d'autres tributs pas loin. Ils vont à la corne, je ne vois pas d'autres hypothèses. Qui s'aventureraient par ici en sachant qu'ils risquent de ne pas être seuls ? Une pensée me traverse alors la tête. Les carrières … Ce pourrait être eux. Auraient-ils fait une alliance ? Il ne vaudrait mieux pas. D'après les images que qui étaient projetés le soir, il restait Skye, la fille de mon district et Joe, le gars du 2. Et il y avait aussi le garçon du 4, Loup il me semble. Aucune idée de s'il un carrière ou non, mais il était étrange et pas très rassurant. On aurait peut-être du aller à la corne hier, finalement. Mais il est trop tard pour changer d'avis. On doit aller sur cet îlot maudit et récupérer de quoi survivre. Et maintenant que j'y pense, on pourrait même y rester à la corne. Je trouvais ça étrange le fait qu'il n'y est personne.

Je récupérais mon sac et le posais sur mes épaules en resserrant les bretelle pour ne pas qu'il bouge et qu'il me gène en bougeant. De plus, bien ajusté, il me procurait une protection contre les attaques. Je gardais mon sabre en main et rangeais la paire de lunettes dans la poche prévu à cet effet accrochée à la ceinture. Ce serait dommage de les casser ou de les perdre. Au pire, de me les faire voler pendant un combat. De toute façon, si on me les volait, je les récupérerais et laisserais un tribut mort derrière-moi. Mes pensées pourraient choquer, mais on est dans les Hunger Games, non ? Dans l'arène ! Les yeux innocents et le regard suppliant, ça ne marche pas avec moi. Et je ne ferais pas de cadeaux du genre : Tu as dix secondes pour t'enfuir. Je tuerais. J'ai déjà tué trois tributs. Je me souviens bien de leurs regards, de leurs gestes désespérés. J'ai culpabilisé après. Mais c'est passé. Et de toute façon, je n'ai pas le choix. Je tue ou je meurs. Et je veux vivre. Je veux rentrer dans le district 1, retrouver Leah et même si je ne serais plus comme avant, ce n'est pas grave. Je serais rentré et en vie.

Je me glisse en dehors de ce qui nous avait servi d'abri pour la nuit, Laurel à ma suite et me dirige en silence vers les rives du lac. Soudain, je vois une silhouette de l'autre côté. Je me recule rapidement dans l’obscurité, contre la paroi de roches et m'abaisse, entraînant Laurel avec moi. Je lui montre le nouvel arrivant d'un signe de tête qui se glisse dans l'eau du lac. Il est seul. Quel idiot ! Se rendre à la corne seul n'est pas la meilleurs des idées. Alors qu'il arrivait sur l'îlot et que j'allais me lever, un autre tribut arriva. Il y avait une réunion ou quoi ?! Même d'ici, je pouvais facilement distinguer des longs cheveux en dreadlocks. Le carrière du 2. Génial … Je pus voir son ombre rejoindre l'autre garçon près de la corne. Le premier qui était arrivé pointa une épée sur lui. Tu vas crever toi, t'as aucune chance face à lui. Mais à ma grande surprise, il n'attaqua pas. Une alliance. Pas si idiot que ça finalement.

Il fallait qu'on y aille. Maintenant. C'était risqué, surtout que je ne savais pas vraiment si Laurel savait se défendre ou non. Mais si on attendait qu'ils repartent de la corne, les meilleurs objets restants auraient disparus. En occurrence, les bouteilles d'oxygène et la nourriture. Il fallait aussi penser à regarder pour les armes. Je possédais le sabre, un couteau et les shurikens. Mais une dague ou un poignard ne serait pas de refus. Si on y allait, il y aurait un combat, c'est certain. Mais nous avions des chances de nous en sortir. J'espérais juste que ces deux tributs ne soient pas lourdement armés. Je me tournais vers Laurel et lui parlais à vois basse.

« Il faut qu'on y aille. Maintenant. Ou sinon, tout aura étaient emportés »

Elle approuva et nous nous levâmes, en direction de la berge. Je soufflais un bon coup. Je me souvenais parfaitement que cette eau était glaciale. Et aujourd'hui, il faisait un peu plus que les jours précédents, aussi la différence de température était encore plus grande. Bon Alek, t'es pas une chochotte, tu vas rentrer dans l'eau et pas plus tard que maintenant. Et en effet, quelques secondes plus tard, j'étais dans l'eau, ayant un peu de mal à cause de la très faible température de l'eau. Je me mis de l'eau sur la nuque et ni une ni deux, je m'enfonçais sans bruit dans les eaux sombres en espérant que les monstres ne viennent pas nous chercher des noises. Les monstres étaient contrôlés par la Capitole. On se dirigeait vers l'îlot où il y avait déjà d'autres tributs. S'ils n'étaient pas idiot, ils avaient compris qu'il risquerait fortement d'avoir un combat. Donc il ne lancerait pas les monstres à nos trousses. C'était plus amusant quand ce sont des tributs qui en tuent d'autres' non ?

Laurel à mes côtés, je nageais le plus vite possible pour ne pas me refroidir encore plus et pour passer le moins de temps possible dans l'eau. Arrivé sur l'îlot, il n'y avait personne en vue, mais nous étions derrière la Corne.

On devrait prendre quelques trucs dans la Corne et s'en aller discrètement... peut-être en tuant un ou deux tributs, tant qu'ils ne se sont pas rendus compte de notre présence.

J'approuve d'un hochement de tête. Elle a raison si on ne se fait pas remarquer, ce serait mieux, mais je veux essayer d'en tuer quelqu'un avant. Ce sera toujours des tributs en moi et donc, des chances de survivre plus importantes. On se faufile à l’intérieur de la Corne, cachés par une grosse caisse. Je m'avance à l'intérieur et ouvre une boîte. Des bouteilles d'oxygène. Cinq ou six. Satisfait, je m'en empare et les fourre dans mon sac. Laurel me donne une bouteille d'eau dont je ne me prive pas pour la boire en entier. Après tout, on a pu en récupérer plusieurs, une de moins ou de plus, ça ne changera pas grand chose. Je regarde le combat qui à lieu où je reconnais le gars du 2. C'est bien lui donc, et les deux tributs du neuf que j'ai aperçu à l'entraînements. Je les ai d'ailleurs remarqué parce que le blond a eu une note médiocre à son examen devant les juges. Il est d'ailleurs dominé par un autre tribut, celui du 12 je crois. Laurel arma son arc et je la regardais étonné. Elle ne voulait pas être discrète ? Mais son action ne me dérangea pas. J'espérais toujours pouvoir rester ici, mais pour ça, il allait falloir se débarrasser de ceux-là.Le trait qu'elle lâcha fila et c'est le tribut du neuf qui la reçut en lâchant un cri de douleur. Ils se rendent alors compte que nous sommes-là.

On ne fuit pas, on se lance.

Aucun problème pour moi ! J'empoignais mon sabre et je m'élançais vers les quatre tributs. Je jetais un coup d'oeil à Laurel. Je ne me souvenais plus de sa note devant les juges et je n'avais aucune idée de si elle savait se défendre ou non. Je pourrais la laisser se débrouiller, mais nous avions une alliance. Je frappais et elle trouvait des solutions. Alors je la protégerais. Et puis elle m'avait bien aidé jusqu'à maintenant, si je la laissais mourir, elle ne pourrait plus le faire ...

Le premier tribut que je rencontrais, ce fût la fille du neuf et lame au clair, j'attaquais le premier. Elle avait peut-être vu ma note aux entraînements. Si c'était le cas, elle devait savoir qu'elle risquait sa vie en restant ici, mais elle n'avait pas eu une trop mauvaise note non plus il me semble, il fallait que je fasse attention. Surtout que nous étions six. Donc un autre tribut pouvait intervenir ...


Dernière édition par Alek Joyle le Sam 11 Mai - 17:37, édité 1 fois
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Scarlett Robins
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Laurel Molnor - District 3

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Je regarde autour de nous. La Corne a toujours été l'endroit le plus "peuplé" dans toutes les éditions de Hunger Games. Ce qui était normal étant donné que c'était le lieu qui comptait le plus d'objets vitaux. Et souvent aussi, beaucoup mourraient en essayant d'obtenir - ou de protéger - ce qui de trouvait à la Corne d'Abondance.
Mais je ne me laisserai pas faire. Je n'étais peut-être pas la meilleure en ce qu'il s'agissait de se battre - d'ailleurs c'était pour ça que je m'étais alliée à Alek - mais je pouvais me servir de ma capacité à calculer les moindres détails pour rester le plus longtemps en vie. Tout ce que je voulais, c'était rentrer chez moi, montrer à ceux qui avaient pourris ma vie que moi, au moins, j'avais survécu, et montrer que les Molnor n'étaient pas une famille maudite dont tous les enfants tirés au sort mourraient dan l'arène. Je voulais aussi revoir ma petite soeur, mon père. Sans moi, ma soeur serait seule, mon père avait trop de travail en tant qu'ingénieur et engager une gouvernante pour me remplacer était loin d'être une solution. Il lui fallait quelqu'un de sa famille, pas une personne engagée pour faire comme si.
Si je devais tuer pour gagner - de toute façon, je ne pourrai pas gagner sans tuer - je le ferai. Je n'aurai pas de pitié. Je ne connaissais pas les autres, peut-être qu'ils étaient cruels, peut-être qu'ils avaient une famille... mais lorsque je fais quelque chose, je ne pense pas au reste. Si je me battais, je ne penserai qu'à tuer. Pas à la prétendue famille de ma victime. Eux non plus n'auront pas de pitié pour moi.

Je marche derrière Alek. Je laisse ma main sur la garde de mon épée en cas d'attaque.
Je vois un tribut nager. Mon premier réflexe est de prendre mon arc et d'armer une flèche. Il ne m'a pas vu, l'abattre ainsi serait facile... lâche, mais facile.
Puis je me souviens des créatures du lac. Non, tuer quelqu'un les réveillerait. Je range mon arc et ma flèche.
Il y a du mouvement sur la Corne. Il y a des tributs là-bas. Peut-être même des carrières.

- Il faut qu'on y aille. Maintenant. Ou sinon, tout aura étaient emportés.

Il a raison. On peut essayer de passer inaperçu, prendre des trucs, peut-être tuer quelques tributs de manière furtive, et s'en aller.
On nage dans l'eau (logiquement) et on progresse. Et là, je vois qu'une bagarre s'annonce sur la Corne. ça risque de réveiller les créatures autour...
On arrive enfin sur l'îlot. Personne ne nous a vu...
Je m'approche de l'oreille d'Alek pour lui dire quelque chose tout en étant sûre que personne ne nous entende :

- On devrait prendre quelques trucs dans la Corne et s'en aller discrètement... peut-être en tuant un ou deux tributs, tant qu'ils ne se sont pas rendus compte de notre présence.

On s'avance vers la Corne. Je rentre discrètement à l'intérieur, Alek à ma suite. Les tributs sont trop occupés à se battre qu'ils ne nous voient pas. Je les compte. Ils sont 4. J'espère qu'ils ne nous ont pas vu...
Je regarde autour de moi. Alek prend des bouteilles d'oxygène, et moi je prends de la nourriture et de l'eau. Je suis assoiffée et bois de suite une bouteille entière avant d'en passer une autre à Alek pour qu'il fasse de même.
Je vois une épée dans un coin... je la regarde, bouche-bée. Une jolie épée bien aiguisée à une main. Elle est pour moi. Je m'en emparre et je me sens mieux avec une épée dans chaque main. Je prends le fourreau qui va avec.
Je fais signe à Alek de partir. J'arme mon arc, discrètement. Je pense qu'Alek sait où je veux en venir.
Je tire au hasard une flèche dans le tas de tributs qui se battent. Un tribut se la reçoit et crie. On se rend compte de notre présence.
Je regarde Alek, et je lui dis :

- On ne fuit pas, on se lance.

Je ne sais pas pourquoi je dis ça mais je suis d'humeur à me battre. Je ne veux pas fuir.
Je range mon arc et sors mes deux épées.
Je fonce.
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Enrico Miro
«you're face to face with the man who sold the world.» - Nirvana.
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