Stella

♦ Tiens, il y a quelqu'un ici!...

♦ Une fois de plus, je m'ennuie. Ah, se que je déteste ça! J'ai passé environ deux heures sur mon ordinateur pour résoudre un problème des plus intéressant. Pour tout dire, l'une des machines principales d'une des plus grosse usines du district (une usines d'armes) avait d'importante défaillance. Elle avait de gros bug et malgré la petite dizaine d'ingénieur spécialisé qui sont allé voir, le problème persistait à être insoluble. C'est alors que l'on m'appelle.

♦ J'avoue avoir été très surprise. En faite, je pense que c'était une manière de me clouer le bec. Pour être franche, je me moquais des techniciens lorsqu'ils échouaient. Cela me faisaient bien rire de voir comment ils essayaient de résoudre le problème en y ajoutant des nouveaux. C'était marrant. Jusqu'à ce qu'ils m'appellent. Je n'avais pas le choix, ils m'ont mit tout leur problèmes sur le dos en plus d'un ultimatum: J'avais une journée pour trouver la solution sinon ils donnaient le problème à quelqu'un d'autre. Dans d'autre termes, j'aurais laissé cette tâche à quelqu'un d'autre avec un grand plaisir, histoire de pouvoir encore me moquer un peu. Mais là, ma réputation était en jeu: j'ai alors saisit ma tablette et j'ai cherché.

♦ J'ai télécharger les données dont javais besoin puis j'ai cherché. Au bout d'une demi-heure, j'avais passé toute les possibilités au peigne fin. Quel horrible échec ! Puis, j'ai continuer sur une piste d'un changement volontaire. Et j'avais trouvé. C'était un genre tout nouveau de virus informatique qui était indépendant en énergie et il pouvait être contrôler à distance. Avant de le désinstaller, je cherchai grâce au onde émise où se cachait de contrôleur de la puce. Une fois localisé, je préparai un rapport écrit sur mes découvertes ainsi que mon résultat sur la localisation des ondes. Il était flagrant que c'était un ouvrier qui, par vengeance, avait saboté l'usine voisine. Puis, j'ai fini par une petite phrase que je répète dans ma tête avec un ton narquois: "Comme j'ai trouvé, je vais continuer à me moquer et je termine par vus dire accompagner d'un rire sadique: Vous êtes nul, je vous ai eu. Je suis la meilleure."

♦ C'était juste une petite vengeance personnel. Comme avait fait l'ouvrier, mais en plus efficace encore. Mes supérieurs détestent quand j'ai raison: mais ils commencent à comprendre que je me trompe rarement. Même jamais. J'étais vraiment contente, jusqu'à ce que je me rende compte que je n'avais plus rien à faire. Le néant. Je posai alors son écran et je jetai sur mon lit. Cette si grande maison était vide et j'aimais ça. Mais je voulais de l'air frais, je voulais sortir. Pour une fois, je me suis dis qu'il fallait mieux que je reste dans l'enceinte du district au cas ou le directeur de l'usine me contacterai. Alors, je fis rapidement mon sac et je partis tout en me dirigeant vers Les Monts Nuageux.

♦ J'aimais bien cette endroit: c'était toujours désert mais rempli de végétation. Bien qu'il n'y ai que peu d'arbre, la luminosité était faible ( Je n'aimais pas les lumière intense.) C'est surtout dû au temps nuageux de ses montagnes: c'est pour ça que je l'aimait bien. Et puis, il n'y avait jamais personne ici: les ouvriers travaillaient ou profitaient de leur temps libre pour trafiquer les usines concurrente. Donc, j'étais seule et j'aimais ça.

♦ En faite, la solitude m'empêchais de vouloir taper des gens. Ou même d'être en colère si bien que j'en deviens dangereuse. Là non, je n'avais rien d'autre à faire que de marcher et me détendre. En même temps, je pouvais chasser un peu aussi: j'ai emmené ma fine lame avec moi. Je n'avais pas spécialement besoin de nourriture, mais d'autre personne si. Je donnais mon gibier, généralement. Et puis j'ai pris le nombreux tesseras qui me sont sans aucune utilité. Je les donne aussi. Mon nom doit être écrit une cinquantaine de fois dans le globe de verre des Hunger Games. Le pire,c'est que je ne sais pas pourquoi je fais ça. Pur donner à manger à des familles pauvres? Non, je fais ça seulement pour ne pas voir des tonnes de nourritures jeté par les fenêtres. C'est un gâchis inutile. C'était peut-être car je n'ai pas de raison apparente de vivre, alors je préfère voir mon nom tiré au sort que celui de quelqu'un qui avait une famille et des amis. Oui, c'est peut-être ça.

♦ Je marchais tranquillement tout en réfléchissant aux causes de mes actes quand j'entendis un bruit. C'était un tout petit bruit lointain, mais il ne passait pas inaperçu à les oreilles. J'avais déjà attrapé un lapin, c'était peut-être un autre gibier. Mais j'en doutais. Je pensais plutôt à un autre genre de chose: comme les bruits étaient le plus faible possible, c'est que la chose ce cachait. J'en conclu que c'était un fugueur d'un autre district. Je les aimaient bien: en faite, j'en faisait aussi partit. Oui, je passe parfois une journée dans un autre district histoire de découvrir de nouvelle chose. Mon ordinateur ne me donne que peut de renseignement sur les autres district, alors je complète la bande de donné par ce que je vois. Je me rapprochai furtivement du bruit. Puis, me sentant assez près, je déclarai:

-Bonjour! De quel district es-tu?

Stella

♦ Une chasseuse hors-pair et une geekeuse sadique qui essaie de ne pas l'être. Beau duo!

♦ Elle ne parut pas très surprise à ma remarque. En même temps, j'avais raison: il y a très peu de gens ayant le physique des habitant du Douze. Mais elle était aussi très jolie et semblait assez forte, bien que la sous-nutrition était particulièrement visible. Quand je comparais son mode de vie au mien, c'est vrai qu'il n'y a que des différences. J'ai toute la nourriture que je veux, si bien que je la distribue (non pas par générosité mais par horreur du gâchis). Puis, je repensai brièvement au deux paquets de biscuits qui étaient encore dans mon sac. Je n'avais pas spécialement faim. Peut-être le donnerai-je à la fille. Enfin, si je veux. Elle me répondit d'ailleurs:

-Je ne suis pas ici en quête de nourriture mais il est vrai que j'aurais bien besoin de viande pour ce soir...

♦ Ses mots me troublèrent. Je pouvais facilement deviné qu'elle allais faire quelques chose pour m'intimidé, ou simplement ce nourrir. Je tendis l'oreille. Il y avait peut-être des oiseaux mais rien de très spécial. C'est pas comme si il y avait un cerf dans les parages...Qui sais, peut-être arrivera-t-elle à me surprendre. Mais je ne suis pas bon publique. Il en faut énormément pour le plaire.

♦ Et je ne fus pas déçue du spectacle. La fille me fit signe de la boucler et elle passa à l'action. D'abord, elle grimpa à un arbre. Moi-même étant une grande amatrice d'escalade (en salle et en falaise seulement), je me pus m'empêcher de penser qu'elle avait fait ça toute sa vie tellement son agilité était hors du commun. Une fois arrivé en haut, elle s'immobilisa quelques secondes. Je compris que les oiseaux dont se suspectais l’existence étaient bien réels. La fille sortit deux lame de ses manches. De ses manches! Alors elle aurait encore put me tuer, même quand elle avait fient de se désarmer. Mais bon, ma petite bouille naïve ne colle pas avec mon caractère, si bien que les gens se trompe sur ma nature. Enfin bref, soudainement, elle sauta.

♦ Au début, je pensais à une tentative de suicide sous les yeux d'un témoin: moi. Enfin, je pensais ça ironiquement: je savais pertinemment qu'elle ne le ferait pas. Alors qu'attendis qu'elle retombe sur le sol. Une fraction de seconde plus tard, elle s’exécuta tout en réceptionnant un prodigieux salto. Cette fille avait une souplesse inhumaine, surtout à mes yeux qui considèrent la souplesse comme impossible à acquérir (hormis la souplesse qu'esprit que j'avais acquis depuis longtemps).

♦ Je vis qu'elle tenait deux piafs dans les mains. Elle replaça ses couteaux à leurs place et me tendis l'une des bêtes qu'elle avait tué. Étrangement, je ne voulais pas refuser. Elle l'aurait peut-être mal pris. Et puis, je pourrais toujours m'en servir. Je le pris donc. Cette fille devait vraiment avoir de mauvaise condition de vie pour devoir chasser tellement qu'elle était presque pire qu'une carrière, niveau condition physique. C'était assez impressionnant. Elle me dit :

-En fait, je suis venue ici pour échapper à des pacificateurs qui enquêtaient sur une histoire de vole sur le marché, et comme je n'avais aucune envie d'y être mêlée je me suis sauvée. Qu'est-ce que s'est que cet objet qui dépasse de ton sac? Je n'avais jamais vu de chose pareil avant. Au fait, je m'appelle Kira, Kira la Féline.

♦ Kira, la Féline. Et bien ce surnom lui va à merveille. Ne l'ai-je pas comparé à un chat tout à l'heure? Et bien j'avais raison, comme toujours. J'avais aussi raison sur son ignorance de la technologie: mon ordinateur ne lui était en aucun cas familier, alors que quelqu'un de mon district de sachant pas un reconnaître un est aussitôt traité d'inculte. Mais bon, je n'ai jamais vu du charbon en vrai: serai-je une inculte pour eux? Et puis, elle avait échappé au pacificateur. Je me demande si ils sont aussi indulgent qu'ici...Je lui répondis en tentant de retirer mon air narquois:

-Hé bien tu l'a échappée belle. Ici, les pacificateurs ne sont pas très sympa, sauf si ils te doivent quelque chose (ce qui et rarement le cas ici, sauf pour moi). Et ceci *je sortis ma tablette avec minutie pour le pas l’abîmer* c'est une tablette numérique tactile. C'est ma meilleure amie surtout dans mon lieu de travail. On peut faire des trucs de fou avec...Enfin, j'imagine que tu ne connais pas trop la technologie...Mais bon, c'est génial. Par exemple...*j'appuyai sur un bouton à gauche, l'écran s'éclaira et je tapais quelques codes à toute vitesse* regarde quel oiseau tu as tué *je lui montre l'écran* C'était un cousin proche de l’hirondelle, c'est en faite une Tachycineta albiventer ou hirondelle à ailes blanches, qui fait partie de la famille des Hirundinidae. Regarde, tout est écrit là *je lui montre du doigt*. J'adore cette ordinateur, bien qu'il n'avait pas vraiment d'utilité avant que j'y rajoute toute ses fonctions...Mais au faite, je m'appelle Stella.

Stella

♦ Moi, avoir des amis?...

♦ Pendant quelques longues minutes, je me laissai prendre à une terrible passion pour mon ordinateur. C'est que je ne connaissais pas de personne qui ne sache pas ce que s'était. Je crois m'être un peu trop prise au jeu, au détriment de Kira. Je me demande même si je ne l'ai pas un peu (ou beaucoup) ennuyer avec ma science. De toute manière, cela ne lui servira pas quand elle rentrera chez elle. Chez elle, où les pacificateurs l'attendre de pied ferme. A mon avis, elle s'en sortira. Elle est très forte physiquement et je suis prête à parier qu'elle les aura. Mais...Si ils étaient nombreux?...Que faire si il débarque chez elle à trente?...J'inversai la situation de on côté. Que ferai-je à sa place? E bien, je crois que je me serais planqué dans la solide charpente de ma maison.

♦ J'aime bien grimper, même si mon peu de souplesse ne m'aide pas beaucoup. Mais néanmoins, je m’entraîne durement tout les jours pour avoir ne serais-ce qu'une condition physique acceptable. Quand on me vois dans la rue, les gens pense que je suis à l'usine tellement je peux paraître..."forte" pour une fille de mon district qui normalement sont si maigre et si fine. Je m’entraîne à l'épée, au combat rapproché, j'apprend des technique spécial grâce à un document piraté récupéré sur ma tablette...Bref, je tiens à rester en forme, bien que je ne sorte pas beaucoup.

♦ Mais contre toute mes attentes les plus sur-espéré, elle m'écoutait. Elle m'écoutait même avec une attention rare. J'étais contente que quelqu'un s'intéresse enfin à ce que je fais. Normalement, on me demande de l'aide juste pour le résultat produis: c'est toujours celui que l'on me demande. Enfin, d'une certaine façon. Normalement, on se fiche éperdument de comment j'ai fais, les gens se contente de me noyer de remerciement qu'à moitié sincère et de partir en courant. Mais pas cette fois.

♦ C'est comme si elle buvais mes paroles qui on quand l'air d'être un peu trop technique pour que tout lui soit compréhensible. Pourtant, j’essayai d'utilisé du vocabulaire courant, mais parfois je ne pouvais m'empêcher d'y ajouter une explication plus précise mais moins clair pour quelqu'un qui n'a pas au moins fait deux ans d'étude d'informatique complexe. Mais bon, c'est l’intention qui compte. Je m'arrêtai pour voir si Kira (j'aimais bien l'intonation de son nom) suivais toujours quand je vis qu'elle me tendais une main qu'elle avais d'abord pris soin de nettoyer dans un petit mouchoir. Elle dis tout en accompagnant son geste:

-Stella, peut-être pourrions-nous être amies?

♦ A ses mots, je me figeai. Je n'avais encore jamais eu d'amis. Enfin, plus depuis ma mort de mon père adoptif. J'avais changé depuis le temps. Mon caractère doux et agréable, gentil et aimable était devenu sadique, méchant, solitaire et asocial. Si bien que que personne ne cherchais à devenir mon amis. Et je ne cherchais pas d'amis non plus. Si bien qu'il n'y avais personne au monde qui pouvait prétendre être mon ami. Mais Kira... J’attribuai d'abord son envie d'être mon amie car elle ne me connaissais pas. C'est vrai, on venait juste de se rencontrer. Nous étions encore de parfaite inconnue. Et puis, je ne souhaitais pas qu'elle soit déçue par ma psychologie quasi-psychopathe et insensible au sentiment. Je n'en exprime pas. Mais je sais les reconnaître. Bien que je n'avais pas vraiment envie d'avoir une amie, il faut avouer que je l’appréciais bien. Pourquoi ne pas nous laisser une chance? Et puis, si elle se rend compte que je ne suis pas comme elle le pensais, elle me le dira et partira. J'étais maintenant décidée. Je pris sa main qui était à peu prés à la même taille que la mienne bien que mes droit squelettique était d'une tel finesse qu'on aurai pu penser que j'étais un cadavre. Je lui dis:

-Je t’apprécie bien. Et puis, on pourrai s'apprendre mutuellement des choses. Mais je ne suis pas ...pas très sympathique par moment. Mais je veux bien essayer. Et puis, on se complète bien non? Je te trouve surprenante.